un drole de monde suite

tsunami terrifant et dévastateur, inondations, tremblemnte de terre catastrophes meurtriéres et , bien pire encore, épidéies, famines, guerres aussi oubliées que dévoreuses de vies: il est bien des malheures dont sont d'abord victimes les plus petits de par le monde,bien des maux don't innocents et désarmés ,ils sont les premiers a soufrir, les premiers à mourir.

à peine venus à la vie , combien sont 'il ainsi appelés à devoir la quitter presque aussitot?constat terrible, cruel, triste, désesperant et dont vous vous demendez peut-etre ce qu'il fait en cette pages? moi aussi je me demande!

seulment voila, invite a la reflexion, on ne fait pas toujours dans la gaudriole et meme, c'est le propre de l'exercice, la reflexion- notre reflexion- nous fait- elle souvent passer d'une pensée légére à une idée sombre, et réciproquement .

si j'évoque ici le pire, le plus grave des drames humains, l'enfant nié dans son droit pourtant imprescriptible à la vie , ce n'est ni à la faveur d'une quelconque journée de l'enfance programmée par unicef ou toute autre institution du genre, ni en raison d'une actualité particuliére ( celle des malheurs qui frappent les enfants du monde ne connait de toute façon aucun répit, aucune treve...), non c'est peut-etre simplement pour avoir passé du temps en présence d'une petite mathilde ces temps derniers.

c'est un drole de monde ou il nous faut vivre.un monde ou chaque catastrophe nous parvient dans ses moindres détails, envahissant notre salon pour se livrer à nous dans le plus crue des lumiéres , dans le plus adsolue des impudeurs, celle avec laquelle caméras et micros aiment à venir fouiller la mort et ses dévastations, un monde ou d'autres vivent dans la terreur et sous les bombes pour la simple raison que les intérets géostratégiques des occidentaux,(ou supposés tels), soient preserves , un mondes ou l'enfant d'afrique,l'enfant d'asie, l'enfant d'ailleurs, meurt de faim,le ventre videles yeux écarquillés par l'incomprehension, affame qu'il est par notre propre appetit de posseder, de controler, de dominer plus, toujours plus...quel prix faudra-t-il donc un jour payer pour avoir commis ce crime absolu, etre reste indifferent face à la mort ne serait-ce que l'un seul enfant alors que par milliers, quotidiennement, viennent les faucher la querre, la malafie, la misére? glacé soudain le sang dans nos veines devant cette interrogation, n'est- ce pas ?

en attendant d'en connaitre la reponse, n'omettez pas de border votre petitn de l'embrasser; de le chérir, de lui raconter une histoire, une belle histoie, une belle histoire, une histoire plus belle que celle écrite par l'humanite en ce siécle débutant...

quant à ceux qui, à peine nés, nous quittent, peut-etre n'etaint-ils apres tout que de simples anges descendu parmi nous et tout aussitot repartis vers des paradis sans souffrances ou on les souhaite chacun assoupi, heureux de pouvoir enfin dormir comme un bebe.