le plus difficile dans la vie c'est d'oser la vivre en entier et nom par morceaux

je ne suis pas obligé de pratiquer la dynamique de l'éponge en absorbant et en prenat sur moi les plaintes , les malheurs, la déprime ou le point de vue de l'autre s'il ne rejoint pas ma sensibilite personnelle du moment

dimanche, décembre 04, 2005

un drole de monde


gerants de la survie de notre espéce, les enfants sont aussi les plus faibles, les plus démunis face aux dangers de notre monde. entre catastrohes naturells et gurres habituelles, l'enfant découvre un univers prafois hostile alors, prenons un efant par la man et guidons-le à travers cette jungle....
toutes les cultures, toutes les sociétés du monde ont cela en commun: la vie d'un tout petit est sacrée! c'est un enseignement universel, une loi primordiale, fondarice, sans laquelle nous ne sommes ni des hommes, ni des betes ( car les animaux aussi pratiquent l'amour de leur portée), sans laquelle nous ne sommes rein.quelque part sur le littoral d'une du pacique, recouvert d'une serviette de plage délicatement posée sur ses épaules , un efnat, blotti dans les bras massife et accueillants de son pere, dort du sommeil du juste. le bruit de l'océan le berce dans ses reves. la brise legere de l'alize, secouant les palmes des cocotiers, vient caresser son crane, c'est un bebe replet, calme et tranquille... bref, il a la chance simple, et pourtant presque insolente, de vivre en paix, aimé et protégé des siens, une chance que tous ceux de son age n'ont pas toujours en ces temps.
comme celui sur la photo qui est vectime d'un geurre...

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2 Comments:

  • At 6:46 PM, Blogger Unknown said…

    c'est vrais, ils sont toujours les victimes d'aprés les désacord entre les grands, mais T'inquiete pas notre dieu ne va pas les oublier
    merci pour le joli post lalla karima

     
  • At 9:57 AM, Anonymous Anonyme said…

    Ton billet m’a fait penser à ces centaines de milliers d’enfants africains malades de Sida à qui l’industrie pharmaceutique

    refuse l’accès aux soins et aux médicament génériques. Il me rappelle aussi ces millions de mômes, de par le monde, qui

    vivent au dessous du seuil de pauvreté et sont les premières victimes d’un ordre économique mondial très injuste .
    Ils essayent de survivre dans un monde où l’indifférence des pauvres envers les riches, des forts envers les faible est

    devenue un fondement de la pensée contemporaine.

     

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