le plus difficile dans la vie c'est d'oser la vivre en entier et nom par morceaux

je ne suis pas obligé de pratiquer la dynamique de l'éponge en absorbant et en prenat sur moi les plaintes , les malheurs, la déprime ou le point de vue de l'autre s'il ne rejoint pas ma sensibilite personnelle du moment

samedi, août 13, 2005

moi c vanessa


Le téléphone qui sonne
C la police ?
Oui vous avez un problème madame ?
Oui c ma fille elle a était violée et j’ai besoin de votre aide
Oui en vous envoie quelqu’un tout de suite madame
Entre l’appel et l’arrivée de la police sa prend 30 min en ce temps la fillette de
15 ans a peur elle va dans la salle de bain et se lave très bien elle se change et ressort comme neuve, elle s’installe au sofa et ne bouge plus et elle ne parle plus elle regarde la TV et sans faire un seul geste
Toc toc toc
Oui, ah c vous entrez s’il vous plait elle est dans le salon et regard la TV
Bonjour !
La fille se retourne elle regarde son rien dire !
Comment vas- tu petite ?
Un profond regard et même pas un signe de vie sur son visage
Alors comment tu t’appelles ?
Moi je ne sais pas
Bon je crois qu’on va l’emmener à l’hôpital et vous devez venir avec nous aussi pour faire une déposition.
Oui bien sûr
Une 1 heure après on arrive à l’hôpital pour faire les analyses
Il y a l’assistante sociale qui nous attend avec un médecin ils prennent la petit fille ds une salle fermée, une interrogation commence
Tu as mal quelque part?
Oui.
Tu peux me dire ou exactement ?
C la en bas et ça me fait trop mal,
Et tu peux nous raconter comment tu t’es fait mal
J’été tt seule à la maison parce que ma mère travaille le soir elle, pour nous ramener de l’argent pour qu’on mange
J’ai entendu la sonnette, je suis allez voir qui été a la porte c’été le livreur de pizza
Il ma dit que on ma envoyer une pizza j’ai laisse la porte ouvert et je suis allez cherchez de l’argent pour lui donné le pourboire mais l’homme et arrive a la cuisine et il ma pris très fort dans ces bras et il ma demander ou se trouve ma chambre il avez la main sur ma bouche je en pouvez pas parler j’avait peur et j’ai cru que il voulez de l’argent j’ai lui montre ou elle ce trouve ma chambre sur les ex calier il ma enlève tt mes vêtements il ma mis sur le lit et il a commence a me caresse comme si j’étai une vrai femme pour lui et il touche mon sexe avec le sien a un certain moment il a commence a le faire rentre en moi je ne savait quoi faire j’été paralyse je ne pouvait plus Pouget ni parler j’avait trop malle je ne savait pas se qui se passe et se que cette homme me fessé ou bout d’un moment il c’est arrête et ma dit de ne rein dire sino il va revenir chez moi encor une foie et il va me tuer j’ai eu vraiment peur mais c ma mère qui a appeler la police s’il vous plait vous pouvait leur dire que j’ai rein du tt sino l’homme va revenir encor une fois chez moi et la il va me tuer s’il vous plait .
_Mais ma chéri en peux pas ne rein dire tu sais que si un homme fait se genre de truc a une fille moins de 18 ans et son qu’elle le veuille il doit être suivi en justice et il y a que toi qui nous peux dire a quoi il ressembler pour le mettre a la prison et jamais je te dit jamais il pourra revenir chez toi car il va avoir peur de toi cette fois il sera que tu est plus forte que lui et que il y a ta famille et la police avec toi .
Puisque c’est comme sa je vx bien mais ma je vx que Lola vient avec moi
Oui bien sur mais c qui Lola ? c ta copine ?
No Lola et ma poupe avec qui je jeu.
Oui bien sur allons voir les policiers pour faire une déposition


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4 Comments:

  • At 11:05 PM, Blogger toygirl said…

    no se son pas des comment se son des spams

     
  • At 8:05 PM, Blogger toygirl said…

    as you like ali if you think that my original post is stupid ,pointless and annoying that is what you think and i'm not here to change peopel think but i'm here to write what i'm thinking about somthing,so do the same man and be peace with your mind and sotp your ridiculous comments my friend

     
  • At 10:33 PM, Anonymous Anonyme said…

    Well apart from your bad french, writing the story could hold!
    All comments could be critical or no it's up to you to accept what people might say about your writings.
    Que la paix soit avec toi.
    Mustapha.
    melkrim@email.com

     
  • At 10:08 PM, Anonymous Anonyme said…

    Un certain désir



    Elle était là, devant lui. Des mois qu’elle attendait cet instant. Voilà qu’il était là, devant elle. Elle déboutonna les pans de son chemisier en le regardant. Sans sourire. Ce n’était pas ce genre de moment. Elle laissa tomber le chemisier par terre. Puis elle enleva ses vêtements un à un, avec méthode. Sans tenter de le séduire. Sans désirer l’exciter. Elle n’en était plus là. Ses vêtements se sont amassés sur le sol, à ses pieds. Le pantalon, si mou, si vide de ne plus retenir ses larges cuisses. Si inutile. La culotte, béante, comme une bouche d’ogresse criant le silence. Le soutien-gorge, maintenant inanimé, les vastes bonnets gisant comme des outres avachies. Voilà qu’elle était là, nue, complètement, devant lui.

    Elle ne s’offait pas à lui. Elle se présentait à lui, dans toute la blancheur cicatrisée de son corps immense. Son corps. Ce corps qu’elle portait maintenant depuis près de cinquante ans; ce corps qui l’avait fait jouir et qui l’avait fait pleurer, ce corps à la fois adoré et honni, qu’elle baignait et crémait longuement aux beaux jours des amants, qu’elle meurtrissait de ses doigts amers dans les plaisirs solitaires…

    Il la regardait. Ses cheveux courts et bouclés avaient gardé la spontanéité d’une jeunesse lointaine, malgré les filets gris s’enroulant près des tempes. Ses épaules dessinaient les premiers vallons polis de cette statue de géante; ses seins lourds, satinés comme deux énormes lunes blanches, semblaient dormir sur son torse marbré. Des seins puissants et nobles, encore beaux, malgré le passage du temps et les veines bleutées qui sillonnaient les auréoles rosées, comme de grosses pêches trop mûres et prêtes à fendre. Son ventre et ses cuisses, gigantesques, irisés par les mille vergetures délicates qui les nacraient, presque phosphorescents dans la demi-pénombre, encadraient le petit triangle de son pubis dodu, onctueux… On aurait dit une petite fille tant la pilosité en était fine et légère.

    L’homme la désirait. D’un désir fervent et irrépressible. Il se déplaça derrière elle. Glissant ses paumes veloutées sur les globes froids de ses fesses, il remonta lentement ses mains et pressa ses bras duveteux dans les plis profonds qui enchassaient sa taille. Sous l’écrasant repli de chair, la peau était brûlante et moite. Elle crut chavirer. Comment avait-il pressenti, lui qui la connaissait si peu, que ce pli ténébreux au plus obscur de sa taille enfouie palpitait comme un oiseau fébrile sous la caresse qui exacerbait tous ses sens? Allongeant les bras, il les glissa sous les seins débordants et parfumés de la femme, l’attirant contre lui. Il plongea sa tête vers la mer laiteuse de son cou et embrassa longuement les sillons chauds qui le valonnaient. Elle sentait la barbe rude de l’homme râper sa peau fragile de blonde, et la salive de son long baiser en appaisait la brûlure ardente sans cesse renouvelée. Elle sentait contre sa peau le tissu rêche du jeans tendu de désir. Elle gémit un peu. Il l’attira vers le lit.

    Il la fit s’étendre sur les draps. Elle essayait de remonter vers le centre du lit, et chacun des mouvements qu’elle faisait agitait ses formes molles de tremblotements de chair. Par instinct, peut-être comme dans un dernier soubresaut de pudeur, elle remonta ses genoux ronds et tourna la tête de côté, couvrant ses yeux de sa main. Il la lui retira doucement, la forçant presque à le regarder dans les yeux. D’une main assurée, il écarta ses genoux. Avec puissance. Avec autorité. Comme seul un homme qui vous désire sait écarter vos genoux. À la seule façon dont il ouvrit ses cuisses, elle sût. Comme si l’essence même de sa virilité s’était commutée dans ce geste millénaire d’entrouvrir ses larges cuisses d’opale, découvrant l’orchidée de velours pourpre de son sexe offert.

    Il descendit sa braguette. Elle entendait le son de chacune des griffes de la fermeture qui descendait, libérant son membre dressé, tumescent, gonflé de désir, impatient de passion, ce sexe qu’elle désirait plus que tout, qu’elle attendait depuis si longtemps. Qu’il la pénètre, oui, elle voulait qu’il la pénètre maintenant, tout de suite. Elle sentait la cyprine qui ruisselait, coulait sur ses fesses. L’homme se glissa entre ses jambes, le sexe gorgé, son gland rose et tendre battant les lèvres de satin mouillé, un bélier sauvage et langoureux cherchant la faille, fiévreux, avide. Alors, en une lente poussée dévorante, il la pénétra. Une si étroite gaine écarlate, éclatée, comme une soudaine déchirure cramoisie dans un coussin plein de mollesse… C’était cela qu’elle voulait. Sentir son sexe puissant dans son corps, son sexe dans le sien comme une bête fauve qui vous fouille les entrailles avec la lenteur assurée de celui qui sait qu’il vous possède…

    L’homme balançait son sexe orgueilleux en elle en un lent va-et-vient vorace qui l’emplisait, lui labourait le bas-ventre, chaque poussée lui arrachant un spasme qui venait s’étouffer dans sa gorge. Elle haletait sous le poids de l’amant, une mécanique à lui arracher le ventre, qui allumait chaque cellule nerveuse de son corps. Elle sentait ses couilles veloutées battre contre son sexe, braises tendres couvant contre la brûlure de sa fente mousseuse de désir. Que cela n’arrête pas, qu’il l’enfile encore, encore… Tout en elle n’était que désir de l’absorber, pomper cette machine à la dévorer… Ses ongles s’enfoncaient dans sa chair, il va lui arracher le ventre, il va la laisser pour morte, et elle le veut, elle le veut tellement…. Elle n’est plus qu’entrailles ardentes, elle n’est plus que ce désir sans fond, immense, viscéral, de lui faire cracher sa semence, voilà, voilà, elle sent que cela vient, il souffle, il râle, il ne peut plus, il va la foudroyer, il va se briser en elle, la noyer, l’innonder de sa terrible jouissance… Et voilà qu’elle bascule, secouée, étourdie, elle va toucher le plaisir, il va l’envahir, il va la remplir, voilà, elle y est, c’en est fini d’elle, elle se liquéfie de bonheur, elle n’est plus que fluide chaviré, que marée lénifiante…

    L’homme et la femme s’étaient épuisés. L’homme vide resta immobile sur la femme, longtemps, son visage enfoui dans sa chair odorante comme s’il refusait de quitter sa peau, comme s’il voulait qu’elle l’engloutisse à tout jamais. Elle sentait le poids de l’homme abandonné sur elle, leurs sueurs mêlées, et les effluves imprégnés des parfums de leur longue étreinte l’appaisaient comme un opium subtil. Elle s’endormit avant lui.

     

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